Transformation Essentielle : qu’y-a-t’il d’encore plus important ?

Transformation Essentielle : " Une sorte de sérénité s’installe à différents niveaux, une sorte de bien-être, et même si je ne plane pas au nirvana toute la journée, j’ai l’impression d’une relation au monde plus claire, et d’un apaisement interne."

Cécile MARRE nous fait partager ici son expérience du processus de Transformation Essentielle. Voici ses commentaires après un séminaire suivi à LA TEMPERANCE.

Ce qui me frappe le plus dans ce processus, c’est son action sur l’intangible. Une échelle de corde invisible pour descendre dans le monde immatériel des émotions, par les barreaux impalpables des intentions... et des changements très concrets en remontent ! Peut-être est-ce le propre de la PNL - en tout cas, la simplicité du système rend ces résultats encore plus impressionnants. A terme, je suppose que les émotions doivent paraître moins "impalpables", pour devenir des jalons connus .Pour l’instant, à chaque fois que je descend, par quelque "partie" que je choisisse d’emprunter, je ne sais jamais avec quoi je vais remonter dans les jours qui suivent. La seule certitude : ce sera toujours lumineux. Les effets de chaque plongée se font sentir le jour même, bien sûr, mais encore plus le lendemain. Lorsque les effets s’estompent je replonge... tout en constatant que, à force, certains changements semblent s’installer durablement, lorsque je travaille avec le même aspect plusieurs fois. Le comportement ou l’émotion à changer s’estompe, sans que j’ai à intervenir dessus consciemment. Je me demande bien comment ça marche. Est-ce que les barreaux de l’échelle, les barreaux des "objectifs intermédiaires" s’usent, et laissent glisser la partie directement dans son état essentiel ? Ou bien est ce que l’état essentiel remonte au contraire, sans se donner la peine de faire des tours et détours ? Si quelqu’un a déjà trouvé la réponse, ça m’intéresse ! En tout cas, ça marche, et je constate la disparition mystérieuse de certains réflexes mentaux néfastes - ils disparaissent d’emblée ou bien cessent de me préoccuper.

Il me semble qu’une partie de la force du processus réside dans le détachement et la distance qu’il instaure vis-à-vis des préoccupations. Comme si on devenait plus sage, plus apte à relativiser et à se tourner vers une appréciation directe de l’instant. Une sorte de sérénité s’installe à différents niveaux, une sorte de bien-être, et même si je ne plane pas au nirvana toute la journée, j’ai l’impression d’une relation au monde plus claire, et d’un apaisement interne. Il est particulièrement agréable de savoir que ces états sont à portée de mains, accessibles, et qu’en fait on les promène en soi ! C’est un ticket de sortie de n’importe quelle émotion pénible. J’en ressens une plus grande confiance en ma capacité de générer des situations internes inattendues.

Il y a une semaine de ça, pourtant, je ne parvenais plus à trouver le chemin pour plonger - quelle que soit la question attaquée. Je ne pouvais même plus trouver le premier barreau de l’échelle, le premier objectif des "parties". Plus personne sur le réseau. Si, après une demi-heure de lutte, j’arrivais à poser le pied sur ce premier barreau, il me fallait ensuite batailler pour descendre objectif après objectif, dans une espèce de brouillard invraisemblable de pensées. Soit je ne parvenais pas à me concentrer, soit... je m’endormais ! Y compris en plein milieu de la journée. J’ai pensé qu’une "partie" en moi voulait me faire dormir. Alors, suivant le protocole, je lui ai demandé : que veux tu ? Et j’ai attendu sa réponse, extrêmement intéressée... Réponse qui fut... du repos ! Pour être franche, je ne l’ai pas remerciée.

Après plusieurs lapalissades de ce type, j’ai attaqué le problème de manière plus générale en demandant à la cantonade si "une partie s’opposait à l’état essentiel". Là, j’ai trouvé. Une "partie" qui m’a rappelée que j’avais une négociation importante à mener au travail, et qui estimait que je devais pour cela garder toute ma vigilance. Ce qui impliquait pour elle : pas d’état zen ou assimilé.

Paradoxalement j’ai pu l’amener à son état essentiel. Cela dit, ça reste pour moi une question très sérieuse : comment rester concentré sur ces objectifs lorsque le détachement devient une manière de vivre ? J’y réfléchis... Tout en sachant que ce qui est apparu là, c’est une croyance.

L’aventure m’a en effet dévoilé une autre merveille du processus : avec lui, on découvre tout seul, et sans difficulté, ses propres systèmes de croyances si inaccessibles en temps ordinaire. La chaîne des objectifs , "qu’y-a-t’il d’encore plus important", peut se grimper à l’envers : je pense que pour avoir telle chose, il faut faire telle autre chose. Et les systèmes de croyances finissent étalés noir sur blanc dans la chaîne des objectifs, il n’y a plus qu’à les relire !

Depuis la découverte de cette objection, je peux à nouveau plonger tous les deux ou trois jours. Et décidément, comme ces états sont beaux ! N’étant pas croyante au sens religieux du terme, je me demande vraiment ce que l’on ramène de ces descentes, et pourquoi tout le monde ramène les mêmes types de choses. Encore une fois, si quelqu’un a compris...

Cécile Marre

Le processus de "Transformation Essentielle" est décrit en détail dans :
- le livre "Transformation Essentielle" de Connirae et Tamara ANDREAS.
- Vous pouvez consulter les notes de lecture ou
- lire le chapitre 5 de "Transformation Essentielle".
- Vous pouvez aussi commander directement le livre.

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Transformation Essentielle : des témoignages.


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